SÉCURISER LA QAI DANS LES ÉCOLES
Face au virus de la COVID 19 qui se propage plus facilement dans les lieux clos, comment assurer alors de meilleures conditions sanitaires dans les écoles ?
Face au virus de la COVID 19 qui se propage plus facilement dans les lieux clos, comment assurer alors de meilleures conditions sanitaires dans les écoles ?
La crise sanitaire a remis au premier plan les questions de Qualité de l’Air Intérieur. Dans les écoles, maintenir des conditions d’apprentissage optimales est devenu un vrai casse-tête. Début 2022 seulement 20 % des écoles, 38 % des collèges et 54 % des lycées étaient équipés en capteurs de CO2. L’État a ainsi débloqué une enveloppe de 20 millions d’euros pour accompagner les collectivités sur le sujet.
La mise en place de capteurs de CO2 en milieu scolaire est recommandé par le ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports (MENJS). Afin de favoriser leur déploiement une aide est attribuée aux collectivités territoriales.
Les modalités d’attribution de cette aide sont présentées dans les documents suivants :
Date limite de dépôts des dossiers : 31 décembre 2022
A noter : Le 4 février 2022, le Premier ministre a décidé de rehausser et simplifier le soutien financier de l’Etat : chaque collectivité territoriale souhaitant acquérir des capteurs de CO2 pour ses écoles et établissements scolaires pourra dorénavant disposer d’une subvention de 8 € par élève scolarisé dans l’enseignement public (contre un plafond de 2 € utilisé précédemment), sans forfait unitaire de prise en charge par capteur. Cette subvention sera versée dans la limite de la dépense réelle, sur présentation de facture.
Le lien entre santé et Qualité de l’Air Intérieur est indéniable. Plusieurs études démontrent l’effet négatif particulier chez les enfants d’une mauvaise Qualité de l’Air Intérieur :
Des problèmes qui mécaniquement peuvent entraîner des troubles de la concentration et donc de l’apprentissage.
A cela vient s’ajouter depuis plusieurs mois la question de la transmission du virus du COVID19, particulièrement virulente depuis quelques semaines avec l’arrivée de nouveaux variants. On sait que celle-ci est largement favorisée en présence d’un manque de renouvellement de l’air intérieur. L’aération et la ventilation des salles de classe est un enjeu majeur.
La France compte près de 60 000 écoles et établissements dans le second degré. Les bâtiments et leurs équipements sont très disparates, certains bâtiments bénéficient d’une construction ou d’une rénovation récente quand certains n’ont pas été rénové depuis les années 70. La Qualité de l’Air s’en trouve impactée selon le système de ventilation, la qualité des matériaux…
Une étude réalisée par l’Observatoire de la Qualité de l’air intérieur entre 2013 et 2017 dans près de 300 écoles a notamment révélé que 93 % des classes présentent des concentrations en particules fines (PM2,5) supérieures à la valeur guide de l’OMS pour une exposition à long terme (10 microgrammes par m3).
La consigne dans les écoles d’aérer régulièrement est de plus parfois plus complexe à appliquer qu’il n’y paraît. Les plans de prévention anti-suicide recommandent par exemple de ne pas ouvrir les fenêtres en grand en étage élevé alors que le plan Vigipirate recommande de ne pas ouvrir celles donnant sur la rue en rez-de-chaussée.
Écoles maintenues ouvertes en temps de pandémie, bâtiments vieillissants ou mal adaptés, comment mesurer et assurer la Qualité de l’Air dans les écoles ?
Pour mieux maîtriser la Qualité de l’Air Intérieur dans les bâtiments scolaires, il faut commencer par pouvoir la mesurer !
Plusieurs facteurs influent sur la QAI :
Mesurer ces facteur permet de :
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